Citoyenneté, participation, engagement des aînés

〉 n°1 – Avril 2017 – La participation citoyenne des aînés – 2017. – 82 p. un bulletin de Les essentiels Amis des AÎNES
Qu’est-ce que la participation citoyenne des aînés ? Quelles sont les instances qui contribuent à la promouvoir ? Quelle place les aînés souhaitent-ils acquérir dans les dynamiques de co-construction et dans la société toute entière ? Comment leur volonté de s’impliquer s’expriment-elle au travers d’actions concrètes ? De quelle manière les collectivités territoriales s’engagent-elles dans une stratégie politique globale visant à permettre une meilleure prise en compte des habitants âgés dans les processus de décision?
Cet ouvrage réunit les contributions d’universitaires, d’associations, d’organismes et de collectivités territoriales au sujet de la participation citoyenne des plus âgés. Par les différents points de vue qu’il réunit, le RFVAA propose aussi de revenir sur l’histoire, la définition et les enjeux de la participation citoyenne des aînés tout en donnant la parole aux acteurs engagés.

〉 La citoyenneté des Adultes Agés : Travaux de la Coordination des Associations de Seniors – 2016. – 58 p.
Les objectifs de la CAS, au travers de cette réflexion qui a été menée par la Commission citoyenneté sont de déterminer des propositions, des revendications, des interpellations aux pouvoirs publics, aux acteurs collectifs du monde associatif et aux citoyens à titre individuel, quant à leur rôle.
http://www.cas-seniors.be/

〉 Intervention collective, mobilisation locale et hébergement des aînés, Comeau Yvan, Desrosiers Michel, Martin-Caron Laurence, Presses de l’Université du Québec, 2015. – 200 p.. – (Initiatives).
Les services d’hébergement pour aînés en légère perte d’autonomie sont cruciaux en raison du vieillissement de la population et de l’augmentation de l’espérance de vie. Or, au Québec, plus de 85?% des résidences sont privées ou à but lucratif et sont inabordables pour bien des personnes âgées. L’hébergement de type associatif paraît une solution prometteuse qui mérite d’être favorisée en raison de la qualité des services, du coût modéré des logements et de la réelle participation des citoyens à la gestion.
Comment mettre sur pied des projets collectifs locaux qui répondent aux besoins des aînés? De quelle manière peut-on favoriser diverses contributions et mobiliser le milieu en faveur de telles initiatives? Comment assurer l’implication citoyenne active dans la gestion?
Cet ouvrage a pour objectif de contribuer au développement de formules d’hébergement variées et adaptées et, plus particulièrement, de formules relevant de l’économie sociale. Il offre du même coup une illustration de la mobilisation sociale et de ses vecteurs: le contexte, le processus, le projet mobilisateur, les acteurs et l’organisation.
Il s’adresse aux décideurs du monde municipal, aux professionnels du développement local et communautaire ainsi qu’aux enseignants et étudiants dans les domaines de l’intervention collective, de l’économie sociale et du développement local. (4ècouv.)

〉 Solitude, dialogue sur l’engagement, Serres Jean-François, Serres Michel, Le Pommier, 2015. – 141 p.
Un père et un fils se retrouvent et dialoguent autour d’un projet porté par le fils, Jean-François : Monalisa, la Mobilisation nationale contre l’isolement des personnes âgées. Ils cherchent tous deux à comprendre comment notre société, marquée par une individualisation qui nous a libérés de nombreux enfermements, est aussi porteuse d’un risque majeur, celui de la solitude, en particulier chez les personnes âgées.
Ce dialogue entre Jean-François et Michel Serres, entre père et fils, entre deux générations questionne l’émergence de l’individu moderne. Michel a oeuvré pour cette indépendance à laquelle il a aspiré durant toute sa jeunesse, tandis que Jean-François, né dans un monde déjà marqué par l’individualisme, est en quête de nouvelles appartenances. Délégué général des petits frères des Pauvres, Jean-François appelle à la mobilisation contre l’isolement et la solitude avec conviction.
Il invite chacun à s’engager aujourd’hui dans le chemin de la relation, une relation réelle et proche, dans son quartier ou son village. Cette nouvelle forme d’engagement s’incarne en initiatives citoyennes locales, diverses et collectives, qui peuvent bouleverser les modes d’intervention sociale, les organisations, la place des institutions et renouveler le fait politique.

〉 Le vieillissement actif dans tous ses éclats, Collectif d’auteurs, Presses universitaires de Louvain, 2014. – 214 p.. – (Sâges) .
Porté par une équipe enthousiaste, ce cinquième volume de la collection Sâges est sans doute le plus abouti. Fruit d’une réflexion pluridisciplinaire, il éclaire d’une lumière particulière les grandes interrogations que pose le vieillissement dans un environnement qui en recule chaque jour les frontières. Si la vieillesse se pense de moins en moins sous le seul angle du déclin, l’aspiration des aînés à participer de manière active aux choses de la Cité le plus longtemps possible surprend souvent, interpelle parfois, réjouit toujours. Leur maintien plein et entier dans la société prend une coloration différente selon les populations et les personnes.
C’est le mérite de cet ouvrage que d’avoir privilégié les regards croisés de différentes disciplines et la recherche sur le terrain pour en baliser les multiples facettes. Il montre qu’à l’heure où la promotion de l’activité accompagne fréquemment l’avancée en âge, c’est plus fondamentalement le sens de cette articulation entre vieillissement et activité qui mérite d’être éclairé car il ne vaut pas pour tous et dans toutes les situations.
Ce « vieillissement actif dans tous ses éclats » nous invite à faire le pari de nos capacités individuelles et collectives à vivre plus longtemps, mieux et ensemble. (4ècouv.)

〉 Le monde change, les aînés aussi : Quand les générations futures se penchent sur l’avenir des seniors [document électronique]. : Fondation pour les Générations futures, 2014.
« Dans quel monde aimerions- nous vieillir? En quoi devrait-il être différent d’aujourd’hui… sachant que les moyens dont nous disposerons seront moindres, que la terre ne se portera
pas nécessairement mieux et que nous serons âgés en plus grand nombre?
C’est la recherche de réponses à cette question clé qui a réuni la Fondation pour les Générations Futures et ses différents partenaires pendant un processus de près de 2 ans.
Nous avons tout d’abord posé la question à des dizaines d’experts. Ils nous ont permis de dégager une série d’enjeux clés et de suggestions en matière de solidarités intergénérationnelles. Nous avons ensuite demandé à trois think tanks de rédiger leur scénario du futur en réponse à ces enjeux.
Ces différentes réponses d’experts nous ont permis dans un deuxième temps de nourrir et de structurer la réflexion d’un panel très diversifié composé de 24 citoyens. Après 3 week-ends de travail, ce panel nous a livré son scénario avec sa propre vision des enjeux et ses propositions. Par définition des réponses de non-experts: un regard neuf et décalé sur la question.
Ces apports indépendants et complémentaires permettent à chacun, experts ou non experts, d’affiner sa propre perception des enjeux et les voies de solutions à explorer. Cela a déjà été le cas pour la Fondation et ses partenaires. Plusieurs de ces premières réflexions vous sont également livrées ici.
https://www.foundationfuturegenerations.org/fr/node/442

〉 Faire participer les habitants? Citoyenneté et pouvoir d’agir dans les quartiers populaires, Carrel Marion, ENS Editions – Ecole Normale supérieure de Lyon, 2013. – 246 p.
Veut-on vraiment que les habitants des quartiers populaires participent ?
Deux analyses s’affrontent sur la participation des habitants aux politiques de la ville. La première pointe les dérives de « l’injonction participative », cette demande unilatérale et méprisante faite aux pauvres de se comporter en citoyens, sans leur donner la possibilité de débattre sur le fonctionnement des institutions. La seconde voit au contraire dans la participation un levier pour leur émancipation sociale et politique et l’amélioration de l’action publique.

〉 Le vieillissement actif, Courants d’Ages, 2013. – 18 p.
Suite à l’année européenne 2012 sur le vieillissement actif et les solidarités intergénérationnelles, Courants d’Ages a rédigé ce document valorisant le point de vue de ses membres sur la notion de vieillissement actif. Dans un contexte marqué par le vieillissement de la population, le concept de vieillissement actif est promu par l’Union européenne comme une solution aux enjeux économiques nés de ce changement démographique. En s’appuyant sur une conception différente des âges et des vieillissements, les membres du réseau Courants d’Ages privilégient une approche visant à rendre chaque personne actrice plutôt qu’active.
Destinée à tous ceux qui souhaitent mieux comprendre les enjeux liés à la notion de vieillissement actif, cette brochure contribue à nourrir la réflexion sur les représentations liées aux âges. Elle rassemble aussi des recommandations des membres du réseau à l’adresse des décideurs politiques.

〉 Mettre en oeuvre les intelligences citoyennes : Une méthodologie de Majo Hansotte, Le monde selon les femmes, 2013. – 95 p.
L’outil présenté ne vise pas uniquement à susciter un engagement actif. Il s’agit d’abord de soutenir les dimensions expressives et culturelles du développement citoyen. Que les individus ou les groupes, les travailleurs et travailleuses, les chômeurs et chômeuses, les femmes et les hommes, subissant une injustice, puissent donner du sens à leur expérience. (4è couv.)

〉 Quelques pistes pour vivre un âge avancé tout en restant intégré dans la société, réflexions du groupe de réflexion « l’âge avancé et l’engagement dans la société » d’Ages et Transmissions asbl, 2009 – 48 p.

〉 Paroles d’aînés actifs, créatifs et solidaires, Courants d’Ages, 2007. – 15p.
Les témoignages mis en avant dans cette publication reflètent le désir, la joie et le sentiment d’utilité chez les aînés de continuer à s’investir dans les activités en lien avec les autres générations.

〉 L’entrée dans la retraite : nouveau départ ou mort sociale ? Thierry D, Liaisons, 2006. – 140 p.
Moment espéré ou redouté, l’entrée dans la retraite est bien souvent un cap difficile à franchir, car lié à un véritable remaniement identitaire. Les bouleversements de tous ordres, biologiques, intellectuels, psychiques et sociaux, sont nombreux et les mécanismes de reconstruction peu connus.
La question de la transition travail/retraite ne relève pourtant pas uniquement de la sphère privée. Avec, d’ici à 2015, les millions de cessations d’activité de la génération papy-boom, et des retraités qui vont ainsi représenter de l’ordre du tiers de la population, il s’agit bel et bien d’un enjeu social et sociétal majeur.
En particulier, se pose la question de la place que l’on veut donner aux retraités dans la société : simples consommateurs assistés par le travail des autres ou groupe social à part entière, indispensable « au mieux vivre ensemble » dans un pacte intergénérationnel renouvelé ?
Fruit de la recherche d’un groupe de travail pluridisciplinaire réunissant des consultants, formateurs, partenaires sociaux, spécialistes de l’emploi et de l’analyse du travail, médecins et psychiatres, cet ouvrage traite des multiples enjeux, individuels et collectifs de la retraite.
Un soutien précieux pour les retraités et futurs retraités, et une réflexion et des propositions d’actions destinées aux dirigeants et DRH, pouvoirs publics, organisations syndicales et monde associatif.

〉 Responsable, moi ! De qui ? De quoi ? : Actes des Rendez-Vous de l’Âge 2006, NEO – CCAS de Besançon, 2006. – 110 p.
5 ateliers : Responsabilité individuelle, Responsabilité citoyenne, Responsabilité familiale et générationnelle, Responsabilité sociétale et environnementale, Responsabilité et fin de vie

Ce thème est aussi largement abordé dans plusieurs bulletins de :
la revue Gérontologie et société :

Balises : le journal des cadres d’Énéo
https://www.eneo.be/balises/communication-et-publications/balises/blog.html